Retour en fin des années 90 avec un incontournable du reggae new roots : Jah Jah City de Capleton, un classique du genre. En 1999, Capleton démarre sa deuxième carrière.
Depuis 1991, il était plongé dans le slackness, avec quatre albums dancehall à son actif, avant de se convertir au Rastafari en 1995. Fini les paroles violentes, place aux messages de paix, d’amour et d’unité. Jah Jah City incarne ce changement radical.
Dans ce morceau, King Shango dénonce la violence qui ravage les villes jamaïcaines et appelle à la fin des assassinats. Ce titre, extrait de l’album culte More Fire, est posé sur le Liberation Riddim, produit par Morgan Heritage. Le clip medley, qui accompagne ce hit, met en scène Capleton aux côtés de Jah Cure (absent du clip, en prison à l’époque), Morgan Heritage, Ras Shiloh, LMS et Bushman.